SUPERVISION

” La supervision est un garde fou contre l’inflation du moi, contre la toute puissance.”(Anne Fraisse, cofondatrice de l’EFAPO). En ce sens, la supervision est protectrice, participe de l’hygiène mental du psychothérapeute et devrait, éthiquement, être obligatoire! La supervision permet de porter un autre regard, une “super” vision, sur le processus psychothérapeutique, le transfert de son thérapisant, son propre contre-transfert, les éventuelles résonances et de mettre le doigt sur ce qui parait juste d’éclaircir.

Elle est ainsi :

  1. Espace-temps d’élaboration, processus de maturation
  2. Expérience de transmission
  3. Eveil et stimulation de l’“inconscient professionnel” du psychothéraoeute
  4. Moment de recherche et de cocréation

SEANCE INDIVIDUELLE ou en GROUPE : 06 61 70 99 82

« Pour le superviseur comme pour le supervisé, il s’agit de vivre en accord, d’apprendre à jouer, à danser, avec les personnes et avec les situations. On ne cherche pas la vérité mais à éviter les erreurs. On ne cherche pas à être performant mais à être juste. À la question « Quelle est la meilleure religion ? », le Dalaï Lama ne répond pas en évoquant le bouddhisme et ses bienfaits. Il répond : « La meilleure religion est celle qui vous rend meilleur. » Ainsi en va-t-il pour la psychothérapie et pour la supervision : elles sont bonnes quand elles nous améliorent. » (…) La supervision «aide à améliorer et à enrichir sa compréhension, ses modes d’intervention et son équilibre personnel. » Alain Delourme , La supervision en psychanalyse et psychothérapie , Dunod 2007, page 73.

Mon expérience de la formation et de la pratique de la psychothérapie en groupe m’ont prouvée la richesse du groupe qui favorise la multitude de points de vue et la co-création, la solidarité et l’empathie collégiale, la responsabilisation, l’enrichissement des connaissances, l’humilité.