Quelques thèmes :L’énergie des mots, l’épigénétique, le toucher aimant et structurant, etc…..

Dans notre corps il y a 70 à 80% d’eau; des scientifiques (comme Jacques Benvéniste) ont prouvé que l’eau porte nos émotions en nous, en laisse une trace, une mémoire. Masaru Emoto a montré que les cristaux d’eau avait une forme et une harmonie variable en fonction de l’émotion, de la vibration du mot prononcé, etc… Si nous n’en prenons pas soin de l’eau en nous, nous serons submergés par nos émotions et si nous ne sommes pas conscients de ce que nous disons de négatif, ressentons (colère, haine, rancoeur, jalousie, avidité, peur, tristesse, etc…), l’eau de notre corps, de nos cellules stagnera, croupira, nous rendra fatigué, sensible, malade… En fait l’eau absorbe des informations dont les émotions…………. NOS PENSES ET NOS EMOTIONS AFFECTENT L’EAU, donc les cellules de notre corps, jusquà notre ADN, donc notre état de santé!!!

Epigénétique

L’épigénétique désigne l’étude des influences de l’environnement cellulaire ou physiologique sur l’expression de nos gènes.

Elle est la musique de notre partition génétique. La génétique renvoie à l’écriture des gènes, l’épigénétique à leur lecture : un même gène pourra être lu différemment selon les circonstances. L’ADN ne fait que porter le code génétique. L’épigénétique donne les moyens à la cellule de l’interpréter le mieux possible.D’après lINSERM il existe de nombreux effets sur l’organisme : « On sait aujourd’hui que les processus chimiques très divers de l’épigénétique jouent un rôle dans le développement de nombreuses maladies, donc le cancer, mais aussi dans des traits comme le comportement, le vieillissement ou la longévité des individus. Et des études récentes menées sur les végétaux ou les animaux suggèrent que certaines modifications épigénétiques acquises au cours de l’existence pourraient se transmettre aux descendants. Autant dire que l’épigénétique, domaine de recherche en pleine expansion depuis quelques années, est un des enjeux scientifiques et médicaux majeur de notre époque. » Nous ne sommes pas le pur produit de nos gènes!

Même si nos gènes gardent la cicatrice des événements vécus avant même la naissance, « Je pense que la plupart des maladies chroniques comme l’asthme, le cancer, le diabète, l’obésité et des maladies neurologiques (autisme, troubles bipolaires, schizophrénie) résultent en partie d’une mauvaise régulation épigénétique lors des premiers stades de développement », estime Randy Jirtle, directeur du laboratoire d’épigénétique à la Duke University, aux Etats-Unis, il est maintenant possible d’espérer une TRANSFORMATION ! Les émotions négatives ont un mauvais impact MAIS les positives peuvent heureusement, elles aussi, laisser leur empreinte. En 2008, des travaux menés au Massachusetts General Hospital ont montré que huit semaines de relaxation suffisaient à modifier l’expression de plusieurs centaines de gènes.

Nos expériences, nos émotions, nos actions façonnent l’expression de ces gènes en permanence. Avec la certitude que rien n’est irrémédiable : L’épigénétique éclaire de manière inattendue la toute jeune psychogénéalogie qui nous dit que nous transportons, à notre insu, les problématiques de nos ancêtres, et même que nous reproduisons souvent les mêmes schémas. Luc Bodin,  Extranet des Psys, le 28 janvier 2013.

 « Nous sommes un maillon dans la chaine des générations et nous avons parfois, curieusement, à «payer  les dettes » du passé de nos aïeux. C’est une sorte de « loyauté invisible » qui nous pousse à répéter, que nous le voulions ou non, que nous le sachions ou pas, des situations agréables ou des évènements douloureux. Nous sommes moins libres que nous le croyons, mais nous avons la possibilité de reconquérir notre liberté et de sortir du destin répétitif de notre histoire, en comprenant les liens complexes qui se sont tissés dans notre famille. » Anne Ancelin Schützenberger, Aïe, mes aïeux !

En conclusions, vivre plus sainement, en veillant à son environnement, à ses pensées à son corps, à son alimentation, à ses émotions et à ses pensées, se pencher sur son histoire et sa généalogie, pratiquer, relaxation, respiration, méditation amènerait l’humain à un mieux-être voire à une guérison en cas de maladie. Dans ce cas, en complément de la médecine allopathique, les thérapies alternatives et la psychothérapie, accompagnent la prise en charge. En effet attendre le miracle ne fait pas avancer le processus, la prise en charge de la maladie est essentielle. La maladie vient signifier quelque chose, en tout cas elle demande un changement, notamment d’habitudes malsaines ou un « mal à dire ». Ce désir de changement ne peut venir que de la personne. La résolution des conflits et la découverte d’un sens à sa vie seront fondamentaux comme booster sur le chemin de la guérison de la maladie quelle qu’elle soit.

La vie est mouvement, l’épigénétique va dans ce sens : tout bouge et peut se transformer ! C’est super ! En effet l’être humain à un potentiel d’auto-guérison incroyable ! Faut-il encore et « en-corps » lâcher nos vieilles croyances limitantes et s’ouvrir à la foi et au pouvoir de l’imagination ! Pensons positivement, visualisons, exprimons, etc… Car si les événements de notre vie peuvent modifier négativement nos gènes, d’autres événements peuvent tout aussi bien les changer bénéfiquement… Rien n’est écrit définitivement et plus c’est tôt mieux c’est ! L’espoir c’est d’attendre comme un enfant une guérison miraculeuse, l’espérance c’est l’opportunité mature et active qui provoque cette transformation en commençant par le changement de nos pensées et de notre mode de vie. Attention chers gènes, le chamboulement arrive, accrochez-vous !

« Nos attitudes et nos émotions ont un effet déterminant sur notre physiologie ainsi que sur l’expression de nos gènes. Il met en lumière l’influence de nos croyances personnelles sur la réalité que nous vivons. Mais il y a encore une chose plus profonde à comprendre, à savoir que les croyances collectives d’une culture ou d’une société exercent également une influence sur notre physiologie et notre comportement. » Bruce H. Lipton et Steve Bhaerman

Je vous invite donc à vous faire accompagner afin :

  • d’évacuer pensées stériles, émotions douloureuses issues du passé, comportement inadéquat et destructeur, …
  • de trouver un sens à votre vie, de la joie, du plaisir, de l’acceptation, …
  • de pratiquer régulièrement méditation, ouverture du cœur, pensées positives, régulation du stress, relaxation, respiration, …

Le câlin selon Osho et en Analyse psycho-organique

En ANALYSE PSYCHO Organique, le toucher et le câlin sont, utilisés à bon escient, des outils thérapeutiques réparateurs.

Osho le confirmait en disant:

« L’homme a besoin d’être un centre d’attention. C’est l’un des besoins les plus fondamentaux des êtres humains!
Si on ne prend pas soin de lui, l’être humain meurt. S’il ne sent pas qu’il est important pour quelqu’un, au moins pour quelqu’un, toute sa vie devient insignifiante.
Aussi, l’amour est la plus grande thérapie qui soit. Le monde a besoin de thérapie parce que le monde manque d’amour. Dans un monde vraiment vivant d’amour, aucune thérapie ne serait nécessaire, l’amour serait suffisant, plus que suffisant.
Le câlin est simplement un geste d’amour, de chaleur, d’affection.
La sensation de chaleur qui se déverse de l’autre personne fait dissoudre de nombreuses maladies en vous, fait fondre l’ego froid comme de la glace. Cela vous fait retrouver l’enfance.
De nos jours, les psychologues sont bien conscients du fait que si un enfant n’est pas étreint, embrassé, il va manquer d’une certaine nourriture. Tout comme le corps a besoin d’aliments, l’âme a besoin d’amour. Vous pouvez satisfaire à tous les besoins matériels de l’enfant, lui donner tous le confort matériel, si les câlins manquent, l’enfant ne deviendra pas un être en pleine santé. Au fond de lui, il restera triste, ignoré, négligé, abandonné. Il aura reçu de bons soins, mais il n’aura pas été materné.
Il a été observé que si un enfant ne reçoit pas de câlins, il commence à se replier sur lui-même — il peut même en mourir — bien que tout le reste soit à sa disposition. Sur le plan corporel, il reçoit tous les soins, mais aucun amour n’entoure l’enfant. Il devient esseulé, il devient déconnecté de l’existence.
L’amour est notre connexion, l’amour est notre racine.
Tout comme vous respirez — pour le corps, c’est absolument essentiel : arrêter de respirer et vous n’existez plus!
De la même manière, l’amour est le souffle intérieur. L’âme vit par l’amour.
L’analyse n’y parviendra pas. Le mental et la clarification, la connaissance et l’érudition n’y parviendront pas.
Vous pouvez savoir tout ce qu’il faut savoir sur la thérapie, vous pouvez devenir un expert, si vous ne connaissez pas l’art d’aimer, vous restez uniquement à la surface du miracle de la thérapie.
Le câlin est un simple geste d’unité — même le geste apporte une aide. Si ce geste est vrai! , pas seulement un geste, mais votre cœur y est aussi présent, il peut être un outil magique, il peut faire des miracles. Il peut transformer une situation dans son ensemble, instantanément…
Le câlin est tout simplement l’une des choses les plus importantes.
Quand vous aimez une personne, la seule verbalisation n’est pas suffisante, les mots ne suffisent pas, quelque chose de plus substantiel est nécessaire, les mots ne sont qu’abstraits. Vous devez faire quelque chose. Tenez la main, étreignez la personne, embrassez-la, prenez-la dans vos bras. Cela vous aidera tous les deux si vous pouvez vous fondre tous les deux dans l’embrassade, vous allez redevenir plus jeunes, plus frais, plus vivants.
C’est tout le processus de la guérison.
L’analyse est la voie du mental, le câlin est la voie du cœur. Le mental est la cause de toutes les maladies et le cœur est la source de toute guérison. »

Osho parle du mental et du corps je rajoute le corps par lequel l’énergie aimante et contenant agit !